comment perdre une oreille au japon

Bonjour tout le monde, et ben voila, un nouveaux post...
Ok, je vais essayer de la faire plus court que les deux précédents... je sais bien que nombre d’entre vous lise ça au boulot... et que vous n’avez pas que ça à faire... D’ailleurs, je vais essayer d’en faire une version audio (podcast dont je parlais y pas longtemps) enfin, si je trouve le temps.

Le week-end dernier, pour fêter notre anniversaire (Céline, Mélanie et moi), après un resto mexicain, ou finalement j’ai pas tellement mangé, ou plutôt mangé liquide et dont on évitera de diffuser les photos pour des raisons de réputation, je suis allé en boîte... et oui, en boite, je pense que certains d’entre vous vont se dire : “il est définitivement perdu, il a passer trop de temps au Japon, il boulétise...” Et ben non, je doit dire que c’était plutôt sympa. Bon, la musique, je n’écouterait pas ça tout les jours, je suis pas vraiment fan de techno ou de house, mais je me suis bien amuser... Je suis allé au VANILLA... a Roppongi. Alors, Roppongi, c’est le quartier branché de la nuit, ou les gai-jin (les étrangers en Japonais) sortent. Et le Vanilla, c’est une des nombreuse boîte de Roppongi, c’est la plus grande boite dans laquelle je suis aller. Ok, j’en ai pas fait beaucoup. Deux salles et demie. Je dis “ et demi” car la salle “rap” faisait plus ou moins partie de l’entrée... Une salle house, très sympa, et pas trop bondé, contrairement a la salle “techno” qui elle est remplie de chez remplie... Vers trois heure du matin, on a eu droit à une ambiance métro au heure de pointe, avec bruit, bousculade, et sol qui tremble. Oui, Quand tout le monde saute sur les rythmes DJesque, le sol bouge, vous aller dire en France aussi... oui, mais la... ça bouge vraiment, on a l’impression d’être sur pont mal arrimer. Je pense que ça devait venir du fait que cette salle était au troisième étage (2eme étage pour la France, ils ont pas de rez-de-chaussée ici, ça commence au 1 étage) d’un immeuble qui devait être antisismique... Bah oui, on évite de penser aux tremblements de terre dans un endroit comme ça. Et de toute façon, Je n’ai pas remarqué de sortie de secours... Je ne sais pas comment ce serait passer l’évacuation et plusieurs centaines de personnes en sueur par le petit couloir par lesquels on accède a cette salle immense (enfin que moi, j’ai trouvé immense). Côté musique, je ne pense pas que ce soit vraiment différent de ce qu’on peut écouter dans les boîtes Françaises mais avec un niveaux sonore bien supérieur, j’ai d’ailleurs cru que j’allais perdre l’oreille droite (je suis pourtant habitué au concerts Hard), Techno remixer par un DJ fou qui ne lève pas le nez de ses platines. Je ne suis pas un spécialiste de ce genre de musique donc, je ne pourrais pas vous dire la différence. Par contre, le DJ n’a pas de micro, et ne parle pas, il ne saoule personne avec de “ok, zuper ze zoir on mouille les T-shirts, ... “ (je sais, j’ai une idée assez stéréotyper des boîtes Françaises... Enfin bref, à part ça, comme en France, on peut trouver des gens qui dansent pour oublier leur quotidiens, des cocktails de toute sorte, des mini jupes, des beaux gosses en chaussures blanches qui draguent tout ce qui bouge, des gens bourrés et même des gros videur blacks, ce qui est étonnant ici... Car au Japon, la plupart du temps les services de sécurité sont assurés par des petits Japonais (la moitié du temps des vieux en uniformes) pas tellement impressionnants. En résumé, une bonne soirée dans une des boîtes les plus branchée de Tokyo. Je remercie d’ailleurs Mel Céline et Seb pour cette soirée. Bon aller j’arrête de vous parler d’un truc qui finalement n’est pas très japonais... La prochaine fois j’essayerai de vous parler plus des chose spécifique au monde du Japon... Comme, je sais pas, les pubs à deux balles, les pouffs de Shibuya (d’ailleurs j’ai des photos intéressantes) ou encore des la folie du métro au heures de pointes et des salari-men en conserve, ou bien de...
Aller je vous laisse retourner au boulot...
Bah alors, vous faites quoi encore devant l’ordi? aller...
Olivier qui ne lui reste plus qu’une oreille et demie...
si rien ne marche pour m'écouter, essayer, par ici: chez Odeo