L'actualité de ma vie au japon

水曜日, 1月 19, 2005

shibyua

Bonjour tout le monde
Bon, et bien, voilà, j’ai encore un peu de temps, je sais plus ou j’en étais sur le dernier post , mais bon, ah oui… je vous avait promis une description de Shibuya où je suis allé pour retrouver Mélanie suite un coup de fil que je lui ai donné dans un moment de panique… Et bien, c’est grand, très grand. Très très grand. Après avoir pris le métro (qui fera l’objet d’un prochain post) pas facile à prendre, je me suis retrouvé avec Mélanie, sur la grande place de Shibuya, Vous savez, en général ce sont les photos de Tokyo de nuits avec pleins d’enseignes lumineuses géantes de partout, en aux des grattes ciels. Pleins de marque,, on en prend vraiment pleins les yeux. Ce fut ma première vision de Tokyo : Un carrefour où les gens traverse de travers (je me suis rendu compte par la suite qu’il y en avait d’autres) surplomber par des grattes ciels ou clignote des panneaux lumineux géants. Je peux vous dire que c’est IMPRESSIONANT. Je suis resté bouche bées… Bon, une foi passer cette stupéfaction, on commence à regarder les gens, et la surprise, les jeunes Japonais sont mille fois plus déjantés que certains français. Surtout les filles, des jupes courtes, plus petites, ça s’appelle une ceinture. On aura aussi l’occasion d’en reparler. On en voit partout dans Tokyo, mais surtout ici… Bref, outre être un quartier impressionnant, Shibuya est le quartier où j’ai pu trouver la confiture qui manquait cruellement à mon petit-déjeuner européen. Il y a ici, des magasins où l’on peut trouver pleins de choses. De la bouffe, des vêtements des magazines en français, bon ok, pas vraiment des trucs qui sont susceptibles de m’intéresser, mais c’est toujours rassurant de savoir qu’on a un peu de France dans ce pays bizarre. Il y même une pâtisserie qui d’après mes sources fait de très bons croissants et pains au chocolat ; j’ose même pas imaginer le prix. déjà que le prix de la nourriture est exorbitant, Vous savez pourquoi l’ambassadeur donne des Ferrero rochers a ses inviter ? Bah y a que lui qui peut se les payer (j’ai enfin compris cette pub qui n’as aucun sens en France).
Shibuya est vraiment un quartier de shoping. On trouve un petit GAP, qui cela dit en passant, pourrait rivaliser avec les plus grand de France… Il y les galeries Lafayette japonaises, Seibu ça s’appelle. Il y plein de karaoké ; ce sont des immeubles entiers. C’est pas le petit karaoké de France bien sympa cacher au fond d’une petite rue en sous-sol ; ici, ils clignotent dans tous les sens sur une dixène d’étages. Quand je dis que ce quartier est un choc a lui tout seul…. Ce n’est pas faux.
Cette petite sortie m’as fait énormément de bien au moral, j’ai enfin pu voir qu’il y avait autre chose au japon que mon petit campus gris et moche où je me suis retrouvé en fin de soirée. Après 40 minutes de train remplit de petit japonais endormi, j’ai retrouvé ma chambre non sans un sentiment de solitude après ce choc de lumière et de monde, mais heureux de savoir qu’il existait autre chose à voir. Mais ça, ça viendra dans les prochains épisodes.
Je profite de ce mot, qui commence à s’allonger dangereusement, pour vous dire que depuis, j’ai enfin récupéré du décalage horaire, je dors un peu mieux, toujours des problèmes d’insomnies, je commence à trouver de la nourriture « normale », qui ressemble à ce que l’on peut trouver en France (pâtes, sauce tomates….). Mon appart ne me plaît toujours pas et est toujours aussi moche, j’attends donc avec impatience vos dons pour égailler ce placard, et pouvoir en faire mon petit coin de France douillet. Merci pour votre soutien et tous vos mails d’encouragement qui m’ont fait très plaisir et m’ont permis de tenir ce passage difficile à vivre. Je remercie aussi Delphine pour son soutien et son amour, et compte sur vous pour la soutenir aussi, car je pense que ça doit pas être facile pour elle non plus de voir son chéri partir, même si Yahoo est là pour nous aider. Excuser moi aussi si parfois je suis expéditif sur Messenger, mais quand Delphine est là… . ;-)
Bon, je vois que j’arrive à presque une page, donc, pour éviter de vous saouler, je vais vous quitter. En vous faisant de gros bisous.
À très bientôt